Поиск по творчеству и критике
Cлово "FER"
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Часть текста: que vu la foiblesse de sa santé, et voulant prévenir des accidents, qui pourroient troubler la tranquillité de l’Etat, en cas, qu’il vint à mourir, il étoit dans le dessein de nommer son frere Pierre Alexéewitsch pour successeur au trone. Jasykow lui représenta, que le prince Jean Alexéewitsch étant du même lit, que lui, et l’ainé de Pierre, il devenoit son héritier naturel. Le tsar lui objecta la complexion trop foible du prince Jean, ajoutant que Pierre au contraire étoit d’une constitution robuste; que la providence lui avoit accordé en outre des talens particuliers, et qu’ainsi il étoit plus digne de lui succeder. Le favori par ressentiment de quelques demélés, qu’il avoit eû avec les Narischkins, fit tout son possible pour éloigner le prince Pierre du trone. Il conseilla même au tsar de se rémarier sans délai, pour donner des successeurs à l’Empire. Je me suis entretenu plusieurs fois, ajouta-t-il, avec les medecins touchant vôtre santé; tous m’ont repondu, que dans peu vous serés rétabli entierement, et que vous vivrés encor longtems. Le tsar entrainé par les conseils de Jasykow se rémaria avec Marfa Matfewna de la famille d’Apraxin, mais peu après sa maladie empira, et il mourut le 27 d’Avril de l’année 1682. Deux jours avant sa mort les strélitz, maltraités par leurs colonels, qui les employoient à toutes sortes de travaux, ne les en dispensoient même les jours de fêtes et leur retranchoient leur paye sous différents prétextes, présenterent une requête au tsar, dans laquelle ils demanderent, qu’on les satisfit sur toutes leurs plaintes. Ils choisirent un de leurs camarades pour la porter au ...
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Часть текста: et observationibus a Chymicis, qui hoc et proximo saeculo claruerunt, heroibus, erutum et in aprico positum habemus, nec quid amplius desiderari videtur, nisi ut ea, quae improbo labore in lucem et diem produxerunt, concinniore et ad Geometricam accedente methodo digerantur; praesertim vero elastica vis nitri, cum carbonibus accensi, quam empirici Chymiae scriptores intactam 5* praeterire solent, ex ipsius natura et Physicis experimentis explicetur. 7* Quamvis autem utrumque arduum esse videatur, cum nec ad mixtionem et generationem ejusmodi corporum explicandam ulla principia in generali Physica hactenus constituta sint, nec multa Physicorum experimenta cum desiderato successu 8* in 9* Chymicis adhibita reperiantur; nos tamen maximam partem Chymiae, propriis ejusdem fundamentis, in Physicam vixdum receptis, innixam, 10* scientifico rerum contextu exponi posse existimamus et Physicas veritates cum Chymicis conjungi, eoque abditam corporum naturam 11* felicius aperiri posse non dubitamus. Connexis severiore inter se methodo Chymicis veritatibus, ita ut pateat, quantum una per alteram explicari aut demonstrari possit, ipsa per se scientia erit Chymia; tandem vero clarius perspici...